Handicap, culture et numérique :
le trio du siècle
Le rôle des institutions dans l'accessibilité à tous de la culture
Afin de comprendre le sujet qui nous servira de fil conducteur sur se blog, il serait intéressant d’évaluer qu’elle est la situation actuelle au sein des institutions, quels sont les dispositifs et les moyens misent en oeuvre dans les musées pour permettre aux personnes en situations d’handicap, qu’ils soient physique ou mentaux, d’avoir non seulement accès à l’ensemble des oeuvres mais aussi d’obtenir les mêmes informations ainsi que renseignements à propos de ces collections, afin que la visite soit une expérience égale à tous, et qu’il en ressorte que tous les spectateurs aient put appréhender l’oeuvre comme il se doit.
Pour comprendre donc l’état actuelle des musées, une étude à été faite personnellement, en allant soit à la rencontre des musées et des personnelles d’accueil, en particulier pour les sites parisiens , soit en allant recours à internet et donc en allant visiter les pages des musées. Cette étude fut réaliser sur un totale de 40 musées, un nombre qui est cette assez restreint lorsque l’on pense à l’intégralité des musées qui résident sur le territoire francais, mais ce fut un choix de réduire les recherches sur uniquement les musées des beaux arts des grands métropoles, étant donné que cela correspondait davantage à notre objet de recherche.
Source :
- Sites des musées de France
Exemple de vidéo en Langues des signes accessible par moyens tactiles comme portable ou tablette.
Diagramme donnant en proportion les différents types de dispositifs techniques qui sont mis à la disposition dans les musées, une étude sur un total de 40 musées français
Les résultats obtenus sont ainsi présenter dans le diagramme ci joint, qui nous montre avant tout que beaucoup d’informations concernant l’accessibilité dans les musées ne sont pas, ou alors que très peu accessible: une explication peut être donner, en soulignant notamment le fait que beaucoup d’institutions n’ont pas de site qui leur est dédié mais plutôt une page ou une rubrique dans le site de la ville. Les informations sont donc difficile à obtenir, ce qui parfois poser problème puisque cela demande alors de pouvoir ce déplacer sur place.
Mais surtout, lorsque nous observons ce diagramme, nous voyons aussi aisément que nous avons peu de diversité quand à ce qui concerne les différents types de dispositifs.
Durant les recherches, nous retrouvons assez couramment les même moyens tels qu’un médiateur spécialisé qui est prêt à accueillir les visiteurs et à leurs faire une visite en langues de signes par exemple. Cependant, en ce qui impliquent de la technologie numériques, nous avons souvent des vidéos explicatifs, plus ou moins nombreuses selon les cas, simplifier ou en langue des signes. Ces vidéos peuvent être alors accessible via les pages internet, comme c’est le cas du musée du Louvre, ou sur place, grâce à notamment des tablettes tactiles portables, ou tout simplement visionnaire sur les téléphones portables. Nous pouvons en effet souligné le fait que plusieurs musées on développer ou se sont associé à des société pour créer des applications qui permettraient à l’utilisateur d’avoir accès à davantage d’informations via leurs appareils personnel. Il s’agit là d’une idée qui ne touche pas seulement le public en situation d’handicap puisque enfants et adulte peuvent l’utiliser à leur convenance, mais les musées ont su l’adapter à tous les publics.
Enfin nous retrouvons assez souvent des audioguides spécialisé, qui peuvent ou non être intégré dans les tablettes tactiles ou les applications et qui reste peut-être, avec les vidéos en langues de signes, un des dispositifs les plus utiliser, puisque, on peut le souligner, il s’agit là d’une méthode simple et efficace.
Ainsi, si nous voulons résumé cette étude et conclure, nous pouvons dire que les institutions proposent déjà aux visiteurs des méthodes efficaces en rappelant toutefois la difficulté que l'on peut parfois avoir pour accéder à ces informations. Mais peut être pouvons nous rappeler qu'il s'agit là d'investissement que tous les musées ne peuvent pas forcément obtenir et que ces derniers ne sont pas les seuls à être concernés, en pensant aux chateau et institutions dont l'accès reste très fermé, une question que les fondations présentes lors de journée de l'accès de la culture à tous ont su développer et approfondir.