
Handicap, culture et numérique :
le trio du siècle

Conclusion : culture, handicap, numérique et le point de vue d'une étudiante
Les applications des technologies numériques sont nombreuses et prennent des formes des plus divers et variés, de même que leur utilisations.
Nous avons voulu ici découvrir comment celles-ci pouvaient se conforter et aider pour le rôle dont se fait garant les institutions patrimoniales, dont le devoir est de préserver et transmettre leurs collections, leurs savoirs, de rendre accessible à tous le trésor nationales dont elles sont les dépositaires. Mais rendre accessible à tous peut être être une question impliquant une adéquation de la médiation culturelle, et c'est à ce moment qu'intervient le numérique.
L'ère de la technologie numérique dans lequel nous évoluons actuellement remet en question et peut être améliore cette dimension de médiation qui rentre de plein droit dans les politiques des institutions. Nous avons évoquer dans une première partie que les musées sont dans l'obligations de rendre leurs collections le plus accessible possible, et nous avons vu que pour répondre à un public qui présente des handicaps moteurs, des handicaps qui touchent leurs capacités visuelles et auditifs, sont déjà mis en place des dispositifs qui répondent en grande partie à leurs difficultés. Mais avec la journée "Culture, patrimoine et numérique" organisée par l'association BrailleNet, d'autre dispositifs ont été mis en avant, innovant et qui répondent tout aussi bien à cette thématique. Mais beaucoup de paramètre reste à prendre en compte et qui peuvent être déterminant, des questions comme le budget des musées ou les capacités des monuments à se rendre accessible. Néanmoins, cette journée, comme toutes celles qui ont suivie et qui ne sont pas forcément portée sur la question du patrimoine, remettent en avant la question de l'accessibilité des lieux publics à tous.