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Les obligations de la culture

Avant de commencer à étudier plus en détail quelles sont les technologies qui sont

donc liées à la fois à la question de la culture et à la question des personnes en situation

d’handicap, il nous faut définir nos propos en expliquant quels sont les enjeux liées à

cette relation, quels sont les normes et les lois qui obligent les institutions.

Pour introduire cet article, nous pouvons revoir la définition même de ce qu’est une 

institution culturel ou plus exactement, ce qu’est un musée, et quels sont les enjeux qui

lui sont liées. Sur le site de l’ICOM (conseil international des musées), il nous est

indiqué qu’un musée est « une institution permanente sans but lucratif au service de la

société et de son développement ouverte au public, qui acquiert, conserve, étudie,

expose et transmet le patrimoine matériel et immatériel de l’humanité et de son

environnement à des fins d’études, d’éducation et de délectation ». En comparaison,

dans le dictionnaire Larousse, un musée est définie comme « lieu, édifice où sont

réunies, en vue de leur conservation et de leur présentation au public, des collections d’oeuvres d’art, de biens culturels, scientifiques ou techniques ». 

Ainsi, la question de la préservation et de la présentation des biens culturels au public est au centre de la politique des musées. Il s’agit d’inclure un public le plus vaste et le plus divers possible, pour promouvoir un patrimoine culturel qui peut être inclut dans les valeurs du citoyen. Les politiques de médiations sont donc primordiales puisque c’est grâce à cette médiation, aux techniques mises en place, aux technologies qui sont inclut et aux discours qui sont écrits que le public va pouvoir avoir accès aux collections et aux savoirs scientifiques. 

Néanmoins, dans tout les cas, la problématique reste la même et des lois ont été mises en place, qui imposent des normes à la fois dans les institutions européennes mais aussi dans les institutions françaises plus spécifiquement. Le tableau ci-joint nous donne ainsi un aperçut des quelques unes de ces lois, qui ne sont pas forcément restreintes à l’univers de la culture et du patrimoine mais aussi plus généralement à toutes les institutions qui se font le devoir de transmettre et de communiquer leur savoir et leurs sciences au public;

La difficulté reste à accueillir tous les publics selon les caractéristique qui leur sont propres. Lors de leur présentation à cette journée « Culture, patrimoine et numérique », l’association BrailleNet représenter par Katie Durand à montrer quels sont les différents types d’handicap qu’il peut y avoir, selon ce qu’il provoque comme déficiences : il . Ces types sont réparties en catégories illustrer par des symboles qui permettent au public de comprendre quels sont les dispositifs qui sont mis à leur disposition, des catégories qui sont elles mêmes divisé selon l’intensité, allant donc d’un handicap léger à un handicap sévère. 

Chacune des nouvelles technologies ou des nouveaux dispositifs qui ont

été présenté lors de la journée « Culture, patrimoine et numérique » rentre

donc dans cette question de l’accessibilité des musées et choisit de répondre

à la difficulté que pose chacune des  différentes catégories d’handicap.

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